Sur la charité, qui, de nos cœurs, n’en doit faire qu’un seul en Jésus-Christ
« La multitude de ceux qui croyaient n’avait qu’un seul cœur et qu’une âme (Ac 4,32) »
Dans la suite du Christ, l’appel à vivre fraternellement n’est pas facultatif. C’est en effet là que se vérifie notre qualité de véritables disciples : manifester de l’amour les uns pour les autres, former ainsi un même Corps, et avoir ‘une même âme’. Cet accueil des autres exige un dépouillement souvent difficile, voire au-delà de nos forces. L’amour est à recevoir comme une grâce, qu’il nous faut demander sans cesse à Dieu le Père.
